Le respect des règles d’éthique vise à la pratique d’un coaching de qualité, respectueux du code de déontologie afin d’éviter toutes sortes d’ abus ou dérives. De son côté, l’International coaching Federation (ICF) veille à la qualité de l’enseignement fourni lors de la formation de coaching.

Ce code déontologie, dont linkup-coaching.com/ propose, spécifie les exigences de bonnes pratiques du coaching et du mentorat vise à renforcer l’excellence permanente du coaching et du mentorat. Il a également pour objet de fixer des directives adaptées et des règles d’exercice professionnel responsable qui engagent l’ensemble de ses membres ; de spécifier les comportements et agissements attendus des membres dans le cadre déontologique de leur relation avec des clients ; sur la base de  référentiels de compétence respectifs, de guider et d’accompagner le développement et la progression professionnelle des membres. Enfin, d’orienter l’action des personnes qui ne se présentent pas comme coach professionnel, mais qui mettent toutefois en œuvre des compétences qui relève du coaching ou du mentorat dans leurs activités.

Pour exercer de façon déontologique sa profession, le coach s’autorise en conscience à exercer sa fonction à partir de sa formation, de son expérience et de sa supervision initiale. Le coach est astreint au secret professionnel pour tout ce qui concerne le contenu de la démarche de coaching envers son client. Dans le cas d’une prise en charge du coaching par un tiers-financeur comme une entreprise, institution ou personne physique, la restitution éventuelle au commanditaire relève de la responsabilité du seul coaché. Le coach œuvre toujours dans le respect des personnes. Il doit être conscient de sa position et s’interdit d’exercer tout abus d’influence. Il se comporte avec loyauté vis-à-vis du coaché dont il a accepté la confiance.

Dans la pratique de sa profession, le coach est attentif au métier, aux usages, à la culture, au contexte et aux contraintes de l’organisation au sein de laquelle s’inscrit l’activité du coaché. Par ailleurs, toute demande de coaching, lorsqu’il y a  prise en charge par une organisation doit répondre à deux niveaux de demande : l’une formulée par l’entreprise et l’autre par l’intéressé lui-même. Le coach valide la demande du coaché et s’assure du caractère volontaire de ce dernier. Un coach peut refuser une prise en charge de coaching pour des raisons propres à la spécificité de la demande d’accompagnement, au demandeur, à l’organisation, ou à lui-même. Dans ce cas, il pourra conseiller un de ses confrères.